Politique éco-responsable

Depuis plusieurs années, le Moulin à Laine d’Ulverton a intégré les démarches visant les politiques de développement durable (sélection sélective, amélioration de la consommation d’énergie, etc.) dans des domaines spécifiques de contrôle interne.

Elle doit viser une meilleure maîtrise de la consommation et de la production par de bons comportements, mais parvenir à une meilleure cohésion sociale en intégrant des dimensions de solidarité et d’épanouissement qui conduisent à une meilleure qualité de vie et de meilleures conditions de travail.

Les domaines d’action dans le cadre du contrôle interne portent sur :

• Gestion de l’énergie : réduire la consommation.
• Gestion des déchets : Tri sélectif.
• Achats : Matériel d’entretien, fournitures hôtelières, vêtements de travail, fournitures de bureau, mobilier, produits liés à l’activité cafétéria et cuisine.
• Gestion du matériel bureautique : imprimantes, copieurs, ordinateurs.
• Gestion de la consommation de papier et d’eau.
• Gestion de la circulation : privilégiez les vidéoconférences, la marche et le vélo pour réduire les déplacements.
• Ce chapitre décrit également le comportement des personnes amenées à monter dans la voiture grâce à une formation spécifique et une sensibilisation à « l’éco-conduite ».

Toutes les activités culturelles doivent être menées dans le souci d’une gestion respectueuse de l’environnement. Par exemple, lors de l’accueil d’une exposition, le choix des matériaux utilisés pour le spectacle vivant doit répondre aux caractéristiques du développement durable et aux critères de « recyclabilité ». Le nombre d’appareils est pris en compte. La période de choix doit être adaptée aux particularités de l’exposition afin d’éviter une surconsommation énergétique liée à une climatisation excessive de l’espace. Il en va de même pour les projets de performance ou d’art exécutés sur le site et l’environnement.

Enfin, la mission patrimoniale est bien entendu au cœur de cette politique.

Une meilleure attention de gestion s’applique à la fois aux travaux d’entretien et de réparation des bâtiments et des jardins. L’un des premiers aspects concernés est la consommation d’énergie, l’amélioration des équipements, l’amélioration des équipements, l’immobilisation du bâtiment dans la compatibilité avec la réalité des bâtiments historiques, les activités pour unifier la consommation d’énergie, il s’agit de regrouper et même de s’adapter aux habitudes quotidiennes. À l’environnement. Dans ce chapitre, la section dédiée aborde les problèmes liés à l’éclairage de la moulin, où le coûte de manière disproportionnée la consommation et l’entretien des équipements en raison d’un éclairage insuffisant ou d’un manque d’éclairage d’un côté. Dans le cadre de travaux de restauration, le choix des matériaux de construction est également un élément important de gestion respectueuse de l’environnement, privilégiant les produits à faible empreinte carbone fabriqués à partir de matières premières compatibles et produits localement ou nationalement.

Pour conclure ce premier tour d’horizon des actions à mener en matière de développement durable, la gestion des espaces verts est sans doute un exemple par excellence de cette politique.

Le Moulin à Laine a intégré cet aspect dans son plan de gestion des sentiers depuis plus de trois ans. Deux axes fondamentaux ont déterminé cette nouvelle politique. Bien sûr, nous avons décidé non seulement des aspects écologiques mais aussi des aspects sociaux du projet. Tous deux sont étroitement liés à la même volonté d’améliorer l’image des sentiers. Le premier est de restaurer l’équilibre harmonieux des sentiers, où le respect de l’environnement et la conservation de la biodiversité sont l’une des priorités. Le second souci est d’améliorer et d’optimiser le travail du responsable de la propriété, tout en étant attentif aux habitants et visiteurs de ces lieux, en donnant toujours à chacun un réel lien entre les sentiers, la nature et les différentes réalités.

Deux politiques clés ont été identifiées. Le premier porte sur les produits et outils utilisés dans les sentiers, les autres chapitres portent sur la gestion des plantes et traitent de sujets plus botaniques.